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Une annonce d’une première mondiale aux Pays-Bas d’un défunt inhumé dans un cercueil « vivant » peut prêter à sourire. Il renvoie pourtant une fois encore à l’interrogation légitime du devenir des corps dans un contexte de saturation des cimetières des grandes villes ou métropoles et la nécessaire prise en compte, pour l’avenir, d’une limitation de l’impact et de la pollution liés à la décomposition.
Ce qui s’apparente à un fait divers permet de s’interroger sur l’équilibre délicat à trouver entre l’éthique et l’écologie.